Pourquoi cet aménagement ?
Un territoire mieux desservi
La section de l’autoroute A7 située entre Chanas et Tain-l’Hermitage, longue de 32 kilomètres, est le plus long tronçon sans entrée ni sortie sur l’axe autoroutier structurant de la vallée du Rhône. Situé sur l’autoroute A7 (Lyon-Marseille), dans le département de la Drôme (26), le projet, composé de deux demi-échangeurs, s’implantera respectivement sur les communes de Saint-Rambert-d’Albon, d’Albon et de Saint-Barthélemy-de-Vals.
Les objectifs du projet
Une réponse plurielle aux attentes du territoire
La création des deux demi-échangeurs permettra, à terme, de :
- désenclaver le territoire en facilitant l’accès à l’autoroute ;
- améliorer les déplacements du quotidien et fluidifier les conditions de circulation aux
échangeurs de Chanas et de Tain-l’Hermitage ; - renforcer l’attractivité économique du territoire en améliorant la desserte des principaux
pôles d’activités dont le Parc Axe 7 ; - accompagner le développement touristique en améliorant l’accès aux sites et activités
de loisirs.
Des accès simplifiés pour les usagers et les acteurs du territoire
Les futurs échangeurs de Saint-Rambert d’Albon et de Saint-Barthélémy-de-Vals permettront un accès direct à l’autoroute, réduisant les détours et limitant le trafic de transit dans les centres urbains. Cette nouvelle organisation des flux facilitera la desserte des bassins d’emplois et des principaux pôles d’activité du territoire, tout en améliorant la circulation dans les communes traversées.
Un besoin exprimé de longue date par les élus locaux et les habitants
Le projet répond à un besoin concret du territoire : offrir de nouveaux accès à l’A7 pour mieux connecter les communes et accompagner le développement local. Porté par VINCI Autoroutes, la Communauté de communes Porte de DrômArdèche, le Département de la Drôme et la Région Auvergne-Rhône-Alpes, il s’inscrit dans une dynamique partenariale forte. Issu d’un long processus de concertation engagé depuis 2019, il a été reconnu d’utilité publique par arrêté préfectoral du 7 janvier 2025 et autorisé au titre du code de l’environnement, le 21 février 2025.